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Encore plus, les députés ont maintenu l'interdiction à toute « personne responsable de l'exploitation de la religion ayant conduit à la tragédie nationale » (la guerre civile) de fonder un parti politique ou de participer à sa création.
Ces actes viennent après comme mesure de prévention en mémoire des actes qui ont parvenu suite à la dissolution du FIS en 1992 qui a plongé le pays dans une guerre civile et dans un état d’alerte qui n’a été annulé qu’au début de 2011. Date depuis laquelle des protestations ont agrémenté l'Algérie et dont le président Abdelaziz Bouteflika y tend de plus en plus ses oreilles.
source: jeuneafrique.com
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